Presseschau 7.05: SP/SGA Baar: Sorgen nicht aufgenommen/Ces

The Future's black

Presseschau 7.05: SP/SGA Baar: Sorgen nicht aufgenommen/Ces

Beitrag von The Future's black » 7. Juni 2005 16:41

© Neue Luzerner Zeitung; 07.06.2005; Seite 23

Zuger Zeitung Gemeinden

SP und SGA Baar

Sorgen nicht aufgenommen

Zu «unverbindlich» ist der SGA die Antwort des Gemeinderates auf ihre Interpellation betreffend Mobilfunk ausgefallen. «Sie nimmt die Sorgen vieler Baarerinnen und Baarer zu wenig auf», so die Mitteilung. «Die flächendeckende Verseuchung mit Elektrosmog durch stark strahlende Mobilfunkantennen hat in den letzten Monaten auch in unserer Gemeinde rasant zugenommen, obwohl noch keine Studien vorliegen, welche die Ungefährlichkeit der Strahlung beweisen.»

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© 24 heures Région La Côte; 07.06.2005; page 35

En forme

Ces ondes qui nous inondent

POLLUTION ÉLECTROMAGNÉTIQUE De l'avis des spécialistes, l'électrosmog est l'une des principales sources de pollution de la planète. Des électriciens s'y intéressent. L'Institut de géobiologie de la Fondation Emergence, à Bulle, vient d'organiser un cours sur cette thématique.

Avec ses antennes relais et les champs électromagnétiques que celles-ci provoquent, la téléphonie mobile est au cœur d'une vaste polémique: avec ou sans danger sur la santé ? De plus en plus de voix s'élèvent, notamment dans le milieu médical, pour dire que ce bombardement permanent par des ondes n'est pas totalement anodin pour le corps humain. Des électriciens en ont déjà fait l'expérience. Ils ont d'ailleurs répondu présent au cours sur la pollution électromagnétique organisé à leur intention par la Fondation Emergence, à Bulle. Il a permis à un spécialiste français de faire le tour de la question.

« Un radar sur la route, plus vite on passe devant, moins il y a de danger !» La boutade est de Jean-Paul Leclerc. Cet électronicien de formation, résidant dans la région de Bordeaux, a enseigné aux jeunes et aux adultes durant plusieurs années avant d'ouvrir, comme géobiologue, un bureau spécialisé dans la pollution électromagnétique. De passage à Bulle, il a donné un cours aux personnes intéressées par ce phénomène, en particulier des électriciens. Et les propos de l'homme n'ont rien de rassurant, même s'il use volontiers d'humour pour faire passer la pilule.

Selon lui — et il n'est pas le seul à le dire — les différents rayonnements induits par notre société représenteraient jusqu'à un milliard de fois le champ électromagnétique naturel de notre bonne vieille planète. « Pour moi, c'est la première source de pollution. Son « avantage », c'est que ses effets ne sont pas immédiats !» La polémique relative à la téléphonie mobile montre bien le côté sournois du phénomène. Alors que plusieurs études démontrent les méfaits de l'électrosmog, autant d'autres tendent à prouver le contraire !

L'homme est un système

électrique

Pour Jean-Claude Leclerc, les effets des champs électromagnétiques sur l'organisme relèvent d'une logique simple. L'homme — et les êtres vivants en général — est luimême un système biologique électromagnétique. Des échanges électriques se produisent dans nos cellules, notre cerveau, dans tout notre corps. La vie s'étant développée dans le champ magnétique terrestre, on pourrait supposer qu'un être vivant y est parfaitement résistant. Il semble pourtant que ce ne soit pas toujours le cas. Pour les spécialistes de la question, les nombreuses ondes auxquelles notre corps est soumis interfèrent d'autant plus sur notre fonctionnement biologique qu'elles se rapprochent des fréquences produites par notre propre organisme.

Bien que cette problématique soit loin d'être simple, certains humains particulièrement sensibles aux champs électriques, magnétiques ou électromagnétiques, en font quotidiennement l'expérience. « J'ai eu une cliente qui ne supportait absolument pas les courants de 400 volts. Elle a pu nous dire exactement où passaient toutes les conduites. Elle en souffrait tellement qu'elle en pleurait !» raconte l'un des électriciens venus s'informer sur cette pollution particulière. « On rencontre de plus en plus de gens confrontés à ce phénomène, ajoute son voisin, d'où l'intérêt de pouvoir les aider à trouver des solutions. » Car certains moyens de protections existent. Encore faut-il les connaître … et accepter d'en payer le prix !

De nombreux témoignages à travers le monde confirment ces phénomènes perturbateurs, en particulier suite à l'installation d'antennes de téléphonie mobile. Mais celles-ci ne sont pas les seules en cause. La pollution électromagnétique commence dans le radio-réveil ou la lampe de chevet. Elle est d'autant plus difficile à détecter qu'elle est invisible. Et, dans ces deux cas, elle se situe très près de la tête et influence donc directement le cerveau. Certaines personnes ont d'ailleurs retrouvé le sommeil en débranchant tous les fusibles de leur maison. Mais cette méthode n'est valable que si la pollution est provoquée par les installations intérieures.

Du cancer à l'insomnie

Pour la santé, les risques ne sont pas moindres. Différentes études ont démontré que l'exposition aux champs de hautes fréquences multiplie le risque de cancer par trois chez les enfants et fait courir un risque accru de leucémie et de tumeur du cerveau chez les électriciens travaillant sur les lignes à haute tension. Selon une analyse des Verts européens, d'autres effets plus difficiles à interpréter complètent la liste des troubles, comme l'insomnie, la fatigue, les migraines, la perte de concentration, l'augmentation du stress, la modification du rythme cardiaque, voire même des atteintes à l'œil et à l'oreille lors d'utilisation fréquente et prolongée du téléphone mobile.

Dans certains cas, des mesures simples permettent de se protéger. Dans des situations plus compliquées, le recours à des professionnels peut être nécessaire. Une chose est certaine: moins on utilise nos appareils électroniques, plus on limite les risques de perturbations.

» Pour plus de renseignements, on peut s'adresser à la Fondation Emergence, Bulle, 026 919 54 00,

ou www. emergence. ch. Pour les détracteurs de la géobiologie, voir notamment l'article publié sous www-sst. unil. ch / Musee / geosciences / grands / geologie / geobiologie /

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© Mittelland Zeitung; 06.06.2005

Tabloid Wohlen

Hausaufgaben für Gemeinderat

Hermetschwil-Staffeln: Lebhafte, überraschungsreiche Gemeindeversammlung im Staffler Gemeindesaal.

Lukas Schumacher
Die Gemeindeversammlung Hermetschwil-Staffeln hat der Gemeindebehörde drei Aufträge erteilt. Der happigste: Grundlagen für die Zukunft der 1100 Einwohner zählenden Gemeinde erarbeiten.

Alle Anträge des Gemeinderates fanden an der Versammlung Zustimmung (siehe AZ vom 4. Juni).
Zu einer Einsprache verknurrt

Bekanntlich hat sich Hermetschwil-Staffeln mit Erfolg gegen die geplante Natelantennenlage des Kommunikationsanbieters Orange im Gewerbegebiet Spilhof gewehrt. Die Anti-Antennenoffensive fand an der Gemeindeversammlung überraschend eine Fortsetzung. Denn die Versammlung beauftragte den Gemeinderat, Einsprache zu machen gegen das Antennenbaugesuch der Swisscom; die Swisscom will ihre bestehende Antenne auf dem Scheunendach an der Hermetschwiler Dorfstrasse auf UMTS umrüsten. 17 der 41 Versammlungsteilnehmer unterstützten den vom ehemaligen Gemeinderat Gregor Keusch eingebrachten Vorschlag und verpflichteten so den Gemeinderat zur Einsprache; neun Versamlungsteilnehmer hatten gegen eine gemeinderätliche Einsprache gestimmt.

Die Swisscom würde auf den Antennenausbau verzichten, wenn die Gemeinde den beiden Kommunikationsanbietern einen gemeinsamen neuen Antennstandort im Dorf anbieten kann. Wie Gemeindeammann Pius With einräumte, sind die Chancen einer Doppelstandortlösung minim. Ebenfalls klein sind die Aussichten, den vom Kanton bereits goutierten Antennenausbau zu verhindern; die an der Versammlung verständlicherweise geäusserten gesundheitlichen Bedenken wegen der Strahlenbelastung werden wenig ausrichten können.
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© Mittelland Zeitung; 04.06.2005

Baden Tabloid

Die Gemeinderäte müssen einfach nur «Ja» sagen

Mobilfunk Das Bundesgericht in Lausanne hat ein klares Urteil zu Kompetenzen bei Baugesuchen für Mobilfunkanlagen gefällt.

dieter minder

«Nach diesem Urteil ist es klar, die Gemeinden müssen die Baubewilligungen für Mobilfunkantennen erteilen, wenn die Strahlungsgrenzwerte eingehalten werden», stellt der Wettinger Gemeindeammann Karl Frey fest.

Die 1. öffentliche Abteilung des Bundesgerichtes hatte einen Fall in Zollikofen bei Bern zu beurteilen. Die 30 Beschwerdeführer unterlagen damit in letzter Instanz. Die Antenne darf gebaut werden und die Beschwerdeführer haben die Kosten zu tragen. Es sind dies eine Gerichtsgebühr von 3000 Franken und eine Entschädigung von 1500 Franken an die Swisscom Mobile.

Durch alle Instanzen verloren

Am 23. Oktober hatte die Baukommission der Gemeinde Zolliko-fen der Swisscom Mobile die Baubewilligung für eine Mobilfunkantennenanlage in der Zentrumszone erteilt. Sie wurde von 38 Personen an die Bau-, Verkehrs- und Energiedirektion des Kantons Bern weitergezogen. Doch die Amtsstelle stützte die Gemeinde und bestätigte die Baubewilligung. Die Beschwerdeführer gelangten an das Verwaltungsgericht des Kantons Bern. Es wies die Beschwerde am 13. September 2004 ab. Damit kam es zu Verwaltungsberichtsbeschwerde vor dem Bundesgericht. Die Beschwerdeführer verlangten, dass die vorhergehenden Entscheide aufzuheben beziehungsweise keine Baubewilligung zu erteilen seien. Dagegen beantragten Swisscom Mobile, Verwaltungsgericht und Gemeinde Zollikofen, die Beschwerde abzuweisen. Sie erhielten Recht vor der höchsten juristischen Instanz der Schweiz.

Antennen wären anzupassen

Genau so wichtig wie die Klärung des Baubewilligungsverfahrens ist für Frey der Hinweis auf die Nachrüstung der Antennen. Im Rahmen des Prozesses hatte das Bundesamt für Gesundheit (BAG) mitgeteilt, dass weitere Studien gemacht werden. Gestützt auf deren Ergebnisse werde der Bundesrat nötigenfalls prüfen, ob die Verordnung über die Nichtionisierende Strahlung (NISV) angepasst werden müsse. Und diese verlange, dass auch alte Anlagen die Anlagengrenzewerte einhalten müssten. Damit werde erreicht, dass eine Anpassung der Grenzwerte auch von bestehenden Anlagen eingehalten werden müsse. «Werden die Grenzwerte gesenkt, müssen die Anlagen umgebaut werden, wir teilen das den Betreibern jeweils in der Baubewilligung mit», präzisiert Frey. So kann die Gemeinde sicherstellen, dass jeweils die strengsten Vorschriften gelten.

Der bund lässt abklären

Wann allenfalls die NISV verschärft wird, lässt sich aus dem Bundesgerichtsurteil nicht ablesen. «Die Mühlen des Staates malen bekanntlich langsam», sagt Frey. Vorerst muss die Studie des Bundes vorliegen. Der Bundesrat hat im März 2005 das Nationale Forschungsprogramm «Nichtionisierende Strahlung, Umwelt und Gesundheit» für 5 Millionen Franken lanciert. Wenn dessen Ergebnisse vorliegen, werden die Behörden, insbesondere das Bundesamt für Gesundheit (BAG), das Bundesamt für Umwelt, Wald und Landschaft (Buwal) und das Bundesamt für Kommunikation (Ba-kom) eine Lagebeurteilung vornehmen. Gestützt auf diese wird der Bundesrat allenfalls eine Anpassung der NISV vornehmen. «Bis zu diesem Zeitpunkt müssen wird die Baubewilligung auf der Grundlage des geltenden Rechts erteilen», sagt Frey. Er könnte sich ohne weiteres vorstellen, dass in der neuen Regelung auch die Vorstellungen des Wettinger Initiativkomitees stärker berücksichtigt werden. Es hatte neben den Emissionen auch die Immissionen berücksichtigen wollen.

Studie wird überprüft

Beim BAG wird auch eine niederländische Studie zum Fragenkomplex geprüft. Diese hatte einen Zusammenhang zwischen UMTS-Antennen und einem verschlechterten Wohlbefinden gezeigt. Das BAG hat dazu im Internet das Informationsblatt «Gesundheitliche Auswirkungen von hochfrequenter Strahlung» publiziert. Darin wird festgehalten, dass die Resultate erst anerkannt werden könnten, wenn sie von weiteren Forschungsgruppen bestätigt seien. Die «Forschungsstiftung Mobilfunkindustrie» hat den Auftrag für eine Replikstudie. Sie wird zu 60% von der öffentlichen Hand und zu 40% durch die Mobilfunkindustrie finanziert. Das Geld der öffentlichen Hand kommt von den oben erwähnten Bundesämtern sowie verschiedenen niederländischen Ministerien, wie das Bundesgericht schreibt. Es akzeptiert auch den Vorwurf der Beschwerdeführer, die Forschungsstiftung Mobilfunkkommunikation sei voreingenommen, nicht. Die Stiftung war von der ETH Zürich sowie von Orange, Sunrise und Swisscom gegründet worden.

Eigentümer entscheidet

Für Frey bleibt den Gemeinden vorerst nichts anderes übrig, als die Baubewilligungen zu erteilen: «Bessere Standorte können nur im einvernehmlichen Gespräch mit den Betreibern gefunden werden.» Den Haupteinfluss auf den Standort hat der Liegenschaftseigentümer. Ohne seine Zustimmung kann kein Telekommunikationsunternehmen auf seinem Areal eine Antenne montieren. Dafür erhält er dann eine Entschädigung.
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© Berner Zeitung; 04.06.2005; Seite 27

BZ-Rund um Bern

zollikofen

Antenne wird gebaut

Die IG Bernstrasse 116 ist auch vor Bundesgericht abgeblitzt. Die aus über 30 Antennengegnern bestehende Gruppierung aus Zollikofen bekämpfte zwei Jahre lang den Bau der Swisscom-UMTS-Anlage an der Bernstrasse. Zuerst hatte die kantonale Baudirektion, dann das Verwaltungsgericht und nun auch das Bundesgericht die Beschwerde abgelehnt. «Das Recht wird mit Füssen getreten», sagt Marcel Hupp von der IG. Laufende Studien bewiesen die schädliche Wirkung der UMTS-Antennen. Die Behörden und der grösste Teil der Bevölkerung steckten den Kopf in den Sand, sagt Hupp. Auch vor der Tatsache, dass angrenzende Liegenschaften entwertet würden. Gemeindepräsident Stefan Funk sagt, er verstehe gut, dass die Leute Ängste vor der Strahlung hätten. Doch: «In der Schweiz gibt es 6,5 Millionen Handys. Das ist auch eine Tatsache.» kle


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© St. Galler Tagblatt; 04.06.2005

Hinterthurgau

Wiler Zeitung / Volksfreund

Bald eine Antenne in der Schutzzone?

CHRISTOF LAMPART

Gemeindeammann Kurt Baumann und seine Ratskollegen verbrachten einen ruhigen Abend. 124 Stimmberechtigte (3,7 Prozent) wohnten der Gemeindeversammlung im Gemeindezentrum Dreitannen bei.



Mobilantenne in Schutzzone?

Kurt Baumann gab ausserdem das weitere Vorgehen beim Fachmarkt Ebnet bekannt. Nachdem der Gemeinderat im April diverse Mängel bei den eingereichten Planungsunterlagen festgestellt habe, rechne er noch in diesem Monat mit dem Einreichen von verbesserten Plänen. Vor den Sommerferien wolle der Gemeinderat die Pläne intern verabschieden und am Dienstag, 16. August, zu einem öffentlichen Informationsanlass einladen, an welchem sowohl der Gemeinderat, als auch die Bauherrschaft teilnehmen und zum Gestaltungsplan Stellung nehmen werden.

Der Beginn der öffentlichen Auflage ist auf den 22. August vorgesehen. Empört zeigte sich Baumann über den Versuch von «Orange» am Bahnhof Sirnach auf dem Gelände der SBB eine 31 Meter hohe Mobilfunkantenne aufzustellen. Die Gemeinde werde gegen diesen Versuch vorgehen. Denn zum einen werde somit der Versuch unternommen, per Bahngesetz (die SBB kann auf ihrem Gebiet autonom handeln) das Baubewilligungsverfahren auf Gemeindeebene zu umgehen, und zum anderen handle es sich beim Gebiet um den Bahnhof um die so genannte Ortsbildschutzzone.

«In dieser kann nicht jeder bauen, und wenn gebaut wird, dann muss sich das Bauwerk harmonisch ins Ortsbild einfügen - was bei einer 31 Meter hohen Antenne ja wohl kaum der Fall sein dürfte», so Gemeindeammann Baumann.